Très poètique, je sais, c’est pas tellement la chanson des blaireaux , mais plus a mon pauvre chat qui vient de s’écraser la gueule contre le sol , à cause d’un sifflement inattnedu , que son pauvre organisme , s’endormant lors d’une belle digestion, a du prendre pour un attentat à la bombe ( en même temsp) ce chat sait à peine ouvrir la porte de sa maison toilette, lorsque, pour rire un peu, j’ai inverser le sens de l’entrée et, que le pauvre, gratte, desesperement le fond de l’habitacle..en clair : sa chute fut salvatrice de mon propre endomissement ....

Je suis tombée sur un article ce soir, assez triste : si je démissionne et que je me retrouve ds un autre cdi pour avoir cet accés à la formation, il me faut 91 jours d’activité, donc pas de période d’essai, pas de "licenciement" dnas le sens oùje l’entend, donc solution avortée dnas l’oeuf;j’irais voir quand même demain à l anpe.

J’ai revu C. on a déjeuné au resto, vraiment bien ! bonne discution tournant autour du boulot, et puis fou rire, elle est en forme et de superbe humeur! ! ça fait plaisir à voir. j’aimerais bien qu’on se fasse ça de manière répétitive, une hur c’est trop court, surtout en un an !

J’ai discuté plus de deux heures au tél, avec mon chéri. Lui ai avouvé mes pires mensonges, surtout celui de la trithérapie; j’ai eu du mal , ça m’a soulagé en fait ! il m’a remonté les bretelles pour l’ifsi et ma boîte. J’ai merdé ce matin, lors d’un entretien au cours duquel j’apprends mon prochian avertissement, j’ai dit à mon boss ( le nouveau,)que j’avais fait un report de notes et que je rentrais à l’ifsi en octobre prochain. Quelle C***;sombre idiote, de croire qu’il maidera. son but et de calme le jeu, de me faire croire certaines choses. je l’ai dit, parce que me suis dit que ej regretterasi si je loupais la moindre chance de partir correctement...j’ai eu tord.

et en plus, je ne parle que de l ifsi à mon entourage, je sens que ça les gonfle, qu’ils se sentent impuissants.

la seule bonne nouvelle de la soirée c’est mon chéri.ça me fait du biend e savoir qu’il est là. à l’écoute, même à 200 km.
c’est dans les problème sque l’on reconnait les siens…