Bureberry et cie
Je vis une grande période de remise en questions et de repositionnements depuis quelques jours. Au-delà de la recherche de divers indices voire de réponses à ma petite condition, je transforme, transpose toutes expériences vécues, ou entendues pour parfaire mon éducation et mon "métier d’Homme"( titre emprunté au petit livre philo écrit par Alexandre Jollien et qui vaut le détour). Évidemment, tout n’est pas sujet à réflexion, et tout ne demande pas une analyse approfondie.
Force est de constater que je ne suis certainement pas la seule dans ce cas, peut-être ai-je juste la capacité féminine à pouvoir l’exprimer aisément, mais sans plus. J’ai assisté, que dis-je survécu, à la diarrhée verbale d’une amie. Elle, perdue dans l’inertie de ses multiples obligations, est aveuglée.
Un comportement de refoulement des émotions qui me laisse plus dans la réflexion et l’empathie de sa douleur que dans la simple observation : " dis donc, j’arrivais pas à en placer une ce soir !"
Les évènements ne sont parfois pas ce qu’il semble être.